Một người Việt từ-trần tại Anvers từ 2 năm mà không ai hay biết.
Nạn-nhân tên là Nguyễn Văn Kham (Khâm ? Khảm ?), 56t, qua Bỉ khoảng 20 năm nay, hình như không có thân-nhân tại Bỉ.
Le corps d'un homme de 54 ans a été retrouvé jeudi passé dans une habitation sociale située dans le quartier du Kiel à Anvers. L'homme est décédé il y a deux ans. Le corps a été découvert par un huissier qui venait récupérer une dette de loyer.
L'homme vivait reclus, n'avait pas de famille et ne posait pas de problèmes.
Il a continué à payer son loyer et d'autres frais longtemps après sa mort grâce à un ordre permanent. La société de logements sociaux ne l'a donc pas ennuyé.
L'ordre permanent arrivait à échéance en août 2009, huit mois après le décès du locataire.
Il a dès lors reçu différents rappels et la société de logements sociaux l'a appelé plusieurs fois, en vain.
Finalement, l'homme a été condamné par défaut pour non-paiement de son loyer. C'est cet arriéré que l'huissier venait réclamer jeudi.
Une autopsie du corps momifié devra déterminer la cause de la mort.
L'ordre permanent arrivait à échéance en août 2009, huit mois après le décès du locataire.
Il a dès lors reçu différents rappels et la société de logements sociaux l'a appelé plusieurs fois, en vain.
Finalement, l'homme a été condamné par défaut pour non-paiement de son loyer. C'est cet arriéré que l'huissier venait réclamer jeudi.
Une autopsie du corps momifié devra déterminer la cause de la mort.
La société de logements sociaux "Woonhaven Antwerpen" regrette ce qui s’est passé, mais n’estime pas avoir commis de faute.
"Nos locataires ont le droit de vivre seul, nous leur fournissons un logement dans lequel ils sont libres de mener leur vie comme bon leur semble. Lorsque tout se passe bien, nous n’intervenons pas", a déclaré Jan Hendrickx de Woonhaven Antwerpen.
"Nous sommes présents en permanence dans le quartier et les locataires peuvent nous contacter quand ils le veulent, nos travailleurs sociaux sont très actifs. Il s’agit d’un cas malheureux de solitude" a-t-il ajouté.
"Nos locataires ont le droit de vivre seul, nous leur fournissons un logement dans lequel ils sont libres de mener leur vie comme bon leur semble. Lorsque tout se passe bien, nous n’intervenons pas", a déclaré Jan Hendrickx de Woonhaven Antwerpen.
"Nous sommes présents en permanence dans le quartier et les locataires peuvent nous contacter quand ils le veulent, nos travailleurs sociaux sont très actifs. Il s’agit d’un cas malheureux de solitude" a-t-il ajouté.